Yann "Bug" Dubois

Nous nous mettons decidément en route de plus en plus tard le matin. Il faut dire aussi que nous nous couchons de plus en plus tard, ces histoires de blog, mine de rien ca prend du temps.  (Note de Cécile : nous accusons le coup aussi des 15 bornes par jour au milieu de la foule tokyoite, perdu l’habitude!) Bref, midi approchait déjà quand nous nous sommes mis en route, direction Ueno pour rejoindre Shibuya par la ligne JR Yamanote. Un demi-tour de Tokyo plus tard (la Yamanote est une ligne circulaire, et Shibuya est exactement a l’opposé de Ueno) nous changeons de train pour emprunter l’express de la ligne privée Inokashira, direction le terminus de Kichijôji. Nous expliquons aux enfants que c’est la ligne que nous empruntions tous les jours pour nous rendre au travail durant notre première année de vie commune au Japon.

La mission impossible

Laissant derrière nous la troupe de petits franco-japonais qui s’affrontent gaiement à coups de jets d’eau, nous nous dirigeons vers le Musée des sciences. Mais à l’accueil on nous dit qu’il n’y a pas vraiment de robots dans ce musée, et en plus cette fois nous n’avons plus d’argent liquide pour payer les entrées. Il faut donc nous mettre en route sans plus attendre pour notre première mission impossible : trouver le distributeur de billets qui accepte les cartes Visa étrangères.

Le train de banlieue

Le train de banlieue nous amènera directement de l’aéroport de Narita à la gare de Ueno. Suite à une petite erreur lors de l’achat des billets à l’automate, nous ne prendrons pas le train express spécial “morning liner” (les enfants découvrent la machine sophistiquée qui avale des billets de banque et recrache des pièces et des tickets). Ce n’est pas grave, on prendra le semi-express : l’expérience de prendre le train de banlieue à l’heure de pointe nous amuse, ça nous rappelle des souvenirs, et les enfants découvrent la discipline exemplaire des passagers japonais : attente en file bien rangée de chaque côté des portes, et entassement minutieux dans le wagon, ne laissant aucun espace libre.

C’est parti pour quatre semaines au Japon en famille. L’avion d’Air France décolle lundi matin (23 juin) direction Tokyo Narita, et nous partons à 5 avec les enfants. Mon frère Franck et ma soeur Cécile nous rejoindront dans 2 semaines.

Nous débutons par une grosse semaine à Tokyo avant d’entammer quelques escapades, puis nous enchaînerons par un petit tour du pays avant de revenir passer les 3 derniers jours à Tokyo.

Peut-on espérer tenir un blog mobile avec un Smartone HTC Touch Cruise ? – Nous allons bientôt le savoir. Connecté en wi-fi depuis mon tout nouveau téléphone (eh oui ça y est j’ai changé), j’utilise Internet Explorer pour Windows mobile afin d’accéder à l’interface d’administration de WordPress.
Ceci est mon premier essai de post dans ces conditions. Si vous me lisez, c’est bien la preuve que ça marche !

Ca fait tellement lontemps que j’ai mon Motorola V500 que je ne me souviens plus de quand il date. De plus de 5 ans sans doute. Ma femme a déjà changé 2 fois de téléphone portable depuis lors, mais moi je suis toujours tellement satisfait des prestations du mien que j’hésite encore à changer.

Après toutes ces années, son autonomie en veille reste tout-à-fait correcte (plus de 5 jours et parfois jusque 7), sa fiabilité à toute épreuve, et son ergonomie intuitive me convient.

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